Big fat burger (mercredi 2 août 2006)
Puisque je suis en « congé », et même si je dois rechercher du boulot, je profite de ces quelques jours libres pour me remettre à une de mes passions : le cinéma. En allant aux séances avant 17 heures, le prix est très démocratique (aux alentours de 5£).
Je suis allé voir dans un premier temps la Palme d'Or 2006 du festival de Cannes, le dernier film de Ken Loach, The wind that shakes the barley. Jamais évident en anglais sans sous-titres, mais j'étais assez emballé par le sujet (guerre civile en Irlande) que pour m'accrocher et y comprendre le nécessaire pour suivre.
Je me suis ensuite fait plaisir en revoyant un film français, sous-titré en anglais celui-là, et qui sera bientôt adapté par les Américains (ce qui n'est pas un gage de qualité, mais au moins ils y croient). Ce film réunissait en 2005 trois grosses pointures du cinéma français: Auteuil, Depardieu, Dussollier. J'avais déjà eu l'occasion de le voir cette année-là et il m'avait vraiment fait une excellente impression: un vrai polar comme les Français savent les faire. 36, Quai des Orfèvres raconte l'histoire de deux flics rivaux poursuivant le même but. Scénario très bien ficelé, d'un ancien de la PJ.
Les films français ne sont pas légion, il faut le dire, même s'ils sont déjà plus présents dans les cinémas traditionnels que dans une autre région francophone du monde.
Pour l'instant, outre 36, ils passent Angel-A avec J. Debbouze, qui a même droit à une publicité dans les métros, Renaissance, film d'animation "européen", District 13, de Besson, les Amants Réguliers, avec Olivier Garrel, ...
Je me suis ensuite fait plaisir en revoyant un film français, sous-titré en anglais celui-là, et qui sera bientôt adapté par les Américains (ce qui n'est pas un gage de qualité, mais au moins ils y croient). Ce film réunissait en 2005 trois grosses pointures du cinéma français: Auteuil, Depardieu, Dussollier. J'avais déjà eu l'occasion de le voir cette année-là et il m'avait vraiment fait une excellente impression: un vrai polar comme les Français savent les faire. 36, Quai des Orfèvres raconte l'histoire de deux flics rivaux poursuivant le même but. Scénario très bien ficelé, d'un ancien de la PJ.
Les films français ne sont pas légion, il faut le dire, même s'ils sont déjà plus présents dans les cinémas traditionnels que dans une autre région francophone du monde.
Pour l'instant, outre 36, ils passent Angel-A avec J. Debbouze, qui a même droit à une publicité dans les métros, Renaissance, film d'animation "européen", District 13, de Besson, les Amants Réguliers, avec Olivier Garrel, ...
A l'appartement, l'une des locotaires qui remplace Tim parti travailler quelques semaines retourne en France demain. Comme elle n'a pas trouvé de boulot à temps plein, elle ne peut poursuivre financièrement l'expérience.
Pour son dernier soir, Kris, Charlotte et moi-même partons boire un verre au Sportbar, un bar américain avec tables de Snooker, salle de danse, et coins pour discuter, et last but not least, qui dit bar américain dit ... télévisions. Bondé, nous parvenons à nous frayer un passage et nous bénéficions même de la gentillesse de jeunes Australiens pour nous laisser jouer deux, trois parties de Snooker.
J'avais évoqué aux jeunes filles quelques jours plus tôt le fait que je trouvais les Anglais (Londoniens) beaucoup moins enveloppés que leurs homologues Américains, entre autres parce que le Londonien marche énormément. Elles n'avaient alors pas du tout été convaincues, et me parlaient au contraire d'une jeunesse arrondie, en Angleterre aussi. Il est vrai qu'aucune des deux ne se retrouve dans la catégorie poids lourd, cependant, je les trouvais bien sévères.
J'ai dû pourtant m'y résoudre. La jeunesse, les dix-huit, vingt ans, paraît effectivement atteinte du syndrome boulimique. La malbouffe est en train de faire ses ravages chez les jeunes. Effarant et inquiétant, je me rends compte que les jeunes générations sont déjà beaucoup plus habituées par le mode de vie américain et leur façon de manger qui l'accompagne.
Bon, nous ne sommes pas (encore) au niveau atteint par les obèses qui s'étendent Outre-Atlantique, mais tout de même, on s'en rapproche...
Moi qui apprècie la marmelade d'orange, les biscuits accompagnant le thé, les fish and ships pas trop gras, les pie of the day, ... je suis déçu.
(il faudra que je vous parle de la cuisine anglaise plus en détails.)
Pour son dernier soir, Kris, Charlotte et moi-même partons boire un verre au Sportbar, un bar américain avec tables de Snooker, salle de danse, et coins pour discuter, et last but not least, qui dit bar américain dit ... télévisions. Bondé, nous parvenons à nous frayer un passage et nous bénéficions même de la gentillesse de jeunes Australiens pour nous laisser jouer deux, trois parties de Snooker.
J'avais évoqué aux jeunes filles quelques jours plus tôt le fait que je trouvais les Anglais (Londoniens) beaucoup moins enveloppés que leurs homologues Américains, entre autres parce que le Londonien marche énormément. Elles n'avaient alors pas du tout été convaincues, et me parlaient au contraire d'une jeunesse arrondie, en Angleterre aussi. Il est vrai qu'aucune des deux ne se retrouve dans la catégorie poids lourd, cependant, je les trouvais bien sévères.
J'ai dû pourtant m'y résoudre. La jeunesse, les dix-huit, vingt ans, paraît effectivement atteinte du syndrome boulimique. La malbouffe est en train de faire ses ravages chez les jeunes. Effarant et inquiétant, je me rends compte que les jeunes générations sont déjà beaucoup plus habituées par le mode de vie américain et leur façon de manger qui l'accompagne.
Bon, nous ne sommes pas (encore) au niveau atteint par les obèses qui s'étendent Outre-Atlantique, mais tout de même, on s'en rapproche...
Moi qui apprècie la marmelade d'orange, les biscuits accompagnant le thé, les fish and ships pas trop gras, les pie of the day, ... je suis déçu.
(il faudra que je vous parle de la cuisine anglaise plus en détails.)
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