To get or not to get (mardi 24 octobre 2006)
On existe dans notre société que si on possède. Tu as un boulot qui paie bien? tu peux dépenser sans compter car l'avenir est assuré, causer de différents sujets car tu te tiens au courant, rencontrer des gens car tu peux te permettre de sortir.
Engrenage de la réussite! Mais valorisant car celui qui s'accroche y arrive.
Engrenage de la réussite! Mais valorisant car celui qui s'accroche y arrive.
Et en cette fin de mois, comme j'ai bien calculé, et bien travaillé en octobre, je sais que le compte va bien se garnir dans quelques jours. Donc, je flambe, je ne regarde pas à la dépense, je me fais des petits plaisirs en allant au ciné, en achetant un cd (écoutez ici) ou en rentrant dans un pub pour vider une pinte.
J'ai dû d'ailleurs retourner dans « mon » quartier (oui, j'en suis tombé amoureux, j'ai déjà expliqué pourquoi), à Hampstead, pour déposer un chèque à la banque que j'ai gardée dans ce quartier.
En sortant, j'en ai profité pour aller me payer une délicieuse pâtisserie française, un Mocca, qui m'avait fait saliver plus d'une fois dans la vitrine de la boulangerie, lorsque j'allais travailler au restaurant, en août.
Cette fois-ci, j'ai pu le goûter accompagné d'un excellent cappucino, assis gentiment à une table du tea-room, en démarrant le livre « the Lost Boys » sur la famille Lewellyn-Davies. Le quartier s'y prêtait bien (rappelez-vous, également, un article en juillet).
Il pleuvait pour une fois, à grosses gouttes, mais rien n'y faisait, le bonheur.
Ah, la vie est dure, c'est sûr!
2 Comments:
philo qu'en tu nous tiens un peu de folie la vie et hop gonflé à bloc
By Anonyme, at 17:29
Hé, hé, oui, pas faux. Mais je suis bon public, un rien me fait (re)démarrer.
By Joe, at 19:55
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